Verviers

3 douzaines de Verviétois
Et moi, et moi, et moi
Qui se promènent la chope à la main
On en boira jusqu’à demain
Je bois et puis j’oublie
C’est la vie, c’est la vie

400.000.000. de spermatozoïdes
Torride, torride, torride
Perdus ce soir là je crois
Avec laquelle, je ne sais pas
Je bande et puis tant pis
C’est la vie, c’est la vie

3 ou 4 fûts de 50 litres
A-fond, à-fond, à-fond
Pour la santé c’est p’t’être pas bien
On y réfléchira demain
Je gerbe et c’est r’parti
C’est la vie, c’est la vie

Quelques semaines de bleusailles
Guindailles, ripailles, futailles
Rally-café, parrainage
Au roi des bleus, c’est un carnage
On gueule sur ces maudits
C’est la vie, c’est la vie

Nous ommes étudiants parfois
J’sais pas, j’sais pas, j’sais pas
Baptisés cette année là
Dans les guindailles nous sommes les rois
I .N.P.R.E.S.)
C’est l’INPRES, c’est l’INPRES ) bis

Rivageois

Sur l’air de : Viens chez moi, j’habite chez une copine, de Renaud.

J’ai le ventre comme une éponge
Spéciale pour pompe à bières
J’suis dans toutes les guindailles
Tant que c’est d’la Jupiler
Les femmes nous les baisons
Salopes ou pucelles
Faut dire qu’aux Rivageois
On les bourre à la pelle

Refrain
La penne nous la portons
Le folklore n’est pas mort !
Viens chez nous aux guindailles Rivageois
On fête la Saint-Toré et la Saint Nicolas

L’à-fond n’nous fait pas peur
Nos guindailles n’ont pas d’heure
Les cours nous désertons
Au Fragnée nous buvons
Dans toute la Wallonie
Nos bleus ont toujours tort
Racler, limer, trouer
On en red’mande encore

Refrain

Ste-Julienne

Il était une Julienne
Qui allait chez Pépé,
Not’Pépé Deleval,
Qu’était à l’hôpital,
Il faisait d’la biochimie,
C’était une drôle de maladie
HEY !

Refrain
Baxter à la bière
La pinne au derrière
Le vagin est à l’air
Ce sont les infirmières

Elle entre dans sa chambre
Il a le dard qui cambre
Les draps en chapiteau
Il montre le numéro
C’était la chambre 69
Ca lui faisait un effet boeuf
HEY !

Refrain

Elle avait donc goutté
Au bon jus de Pépé
Elle ne put s’en défaire
Comme toutes les infirmières
Et depuis lors grâce à Pépé
Elle déguste toute notre fournée
HEY !

Refrain

Les p’tites soeurs à Julienne
Voulaient avoir une penne
Les lèvres ruisselantes
Et parfois même chantantes
Elles s’y prenaient du bout des doigts
Elle te faisaient un gland de bois
HEY !

Refrain

La langue bien pendante
Jusqu’au mamelles pointantes
Elles enfilent un demi
Sans même un dégueuli
A-fond la bière, à-fond les doigts
Elles ne s’contentent pas d’un seul doigt
HEY !

Refrain

Seraing

Pour guindailler, ‘y a pas mieux que Seraing
On a pas peur d’s’enterrer à la bière et de gerbeeer
Etre plein c’est notre passion
Puis surtout baiser n’importe où
C’est pour tout ça qu’on se fait baptiser à Seraing
Qu’on vienne d’info, de meca ou d’indus
Pour nous un trou faut que ça mouille bien, mouille bieen
Qu’une queue ce soit bien juteux
Des grosses couilles et un con puant
Pour bien baiser, il nous faut tous ces ingrédients

Refrain
Et partout dans la rue
Faut qu’on parle de Seraing
Que les autres nous admirent
Qu’il prennent exemple sur nous
Qu’on les enterre, qu’on les tue
Qu’on leur bourre dans le cul

Pour les sales bleus de Seraing
Devenir des charognes
Faut que toutes les journées ils se mettent gueule-en-terre
Et qu’il lèchent notre gerbie
Pour devenir nos amis
Puis après ils porteront la penne
La guindaille pourra commencer dans la joie
Des soirées pleines de tabliers
Où s’rencontrent toutes les facultés
Et plein de chopes pour rassasier notre foie

Refrain
et Seraing, et Seraing,
et Seraing, et Seraing,
et Seraing, et Seraing,
et Seraing, et Seraing

St-Laurent

En rue d’Fetinne, se trouve St Laurent Un vrai repère de pines et de nichons ardents D’la Jupiler à la forte Ecu Nous les bières, on les a toutes bues.

Oui, oui, oui à St Laurent, oui à St Laurent On n’vit que pour la bière et le blanc Oui, oui, oui à St Laurent, oui à St Laurent Les bleuettes aiment le bon sperme gluant

Dans les guindailles, la tête dans une futaille Une femme autour du vît, tel est notre seul cri Siph’ puis Sida ou même le Palu Maladies, on vous a toutes eues.

Nos estons fir di tchantché fos essen Di cougni comme des biesses, di beur sec est tonait No n’dwermon nin car nos festaillerons Tot li nut et nos rataquerons.

ISIS

Quand l’ISIS est en virée
On nous entend, on nous entend
Jusqu’au Toré
Quand on s’met à guindailler
Plus rien ne peut nous arrêter
La bière est comme notre frère
Si on la boit, si on la boit,
C’est parce qu’on l’aime
Quand on baise on sait y faire
C’est toujours la même galère
Tout au long de nos bleusailles
On a chié, on a chié
Place Cathédrale
Quand l’baptême fut terminé
Fiers nous sommes devenus pennés.

Tape ta pine

En revenant de la foire, de la foire à Perpignan,
J’ai rencontré trois jeunes filles, tape ta pine.
Trois jeunes filles et trois garçons.

Et tape ta pine contre mon con,
Et tape tapoum tapoum tapoum lalalalalalalala (bis)

J’ai rencontré trois jeunes filles, trois jeunes filles et trois garçons,
Les garçons disaient aux filles, tape ta pine.
Les filles disaient aux garçons :

Les garçons disaient aux filles, les filles disaient aux garçons,
Ah si vous étiez moins bêtes, tape ta pine.
Vous soulèveriez nos jupons.

Ah si vous étiez moins bêtes, vous soulèveriez nos jupons,
Vous y verriez une bête, tape ta pine.
Plus poilue qu’un hérisson.

Vous y verriez une bête, plus poilue qu’un hérisson,
Mettez-y une pine bien raide, tape ta pine.
Et poussez la jusqu’au fond.

Mettez-y une pine bien raide, et poussez la jusqu’au fond,
Les roustons restent à la porte, tape ta pine.
Et dansent le guignolon.

Les roustons restent à la porte, et dansent le guignolon,
Trois poils de cul leurs demandent, tape ta pine.
Mais que faites vous là couillons ?

Trois poils de cul leurs demandent, mais que faites vous là couillons ?
Nous attendons notre maître, tape ta pine.
Qui est entré dans cette maison.

Nous attendons notre maître, qui est entré dans cette maison.
Il y est rentré bien raide, tape ta pine.
Il en ressortira couillon.

Mareye Clap’ Sabot

Bonsoir, Mareye Clap’ sabot
R’trossez bien vos’ cotte
Quand vos irez tchîre
Mareye, Mareye Clap’ sabot
R’trossez bien vos’ cotte
Quand vos irez cô.

Refrain:
Bonsoir, Bonsoir,
Bonsoir, Mareye Clap’sabot,
Bonsoir, Bonsoir,
Bonsoir, Mareye Clap’sabot.

D’Joseph, vos avez des piaux
Dji les a veyou
Corir sur vos’ tiesse
D’ Joseph, vos avez des piaux
Dji les a veyou
Corir sur vos’ cou.

Refrain

Ma femme est morte

Jean l’autre soir, en montant l’escalier (bis),
Trouva sa femme étendue sur le palier (bis),
«Ohé, portier ! Ma femme est morte !
Venez, venez vite venez vite la chercher,
Ou bien je la fous derrière la porte.»

Refrain:
Car c’était elle qui foutait le chahut à la maison
La guenon, la poison, elle est morte !
Elle ne mettra plus de l’eau dedans mon verre
La guenon, la poison, elle est morte !

Lors Jean s’en fut réveiller les copains (bis)
Fit tant de potin qu’il fit lever Martin : (bis)
«Eh les copains ! ma femme est morte !
C’est moi qui vous paye la goutte demain matin
Si vous venez lui faire escorte.»

Refrain

Lors Jean s’en vint trouver Monsieur l’curé (bis)
Qui ronflait fort sous son bonnet carré : (bis)
«Ohé, curé ! Ma femme est morte !
Donnez, donnez-lui toutes vos oraisons
Et puis que le diable l’emporte.»

Refrain

Lors Jean s’en fut trouver le fossoyeur (bis)
Qui dans une tombe dormait à la fraîcheur : (bis)
«Oh fossoyeur ! Ma femme est morte !
Creusez, creusez vite un trou large et profond
De peur que la garce n’en sorte.»

Refrain

Lors Jean s’en fut retrouver sa moitié
La garce de femme avait ressuscité :
«ô Aglaé, tu n’es pas morte !»
Elle lui répondit, le pot de chambre au poing
«Voici la tisane que j’t’apporte.»

Dernier refrain:
Et comme toujours, je fouttrai le chahut à la maison
Ta guenon, ta poison, n’est pas morte !
Et je mettrai encore de l’eau dedans ton verre
Ta guenon, ta poison, n’est pas morte !

L’Hôtel-Dieu

Au bal de l’Hôtel-Dieu, nom de Dieu ! }
Y avait une servante. } (bis)
Elle avait tant d’amants, nom de Dieu !
Qu’elle ne savait lequel prendre.

Refrain:
(parlé)
Ah nom de Dieu, nom de Dieu, nom de Dieu
Cré nom de Dieu, nom de Dieu, nom de Dieu
(chanté)
Ah nom de Dieu ! Nom de Dieu, nom de Dieu !
Ah nom de Dieu, quelle allure !
Ah, nom de Dieu ! Nom de Dieu, nom de Dieu !
Ah quelle allure ! Nom de Dieu !

Elle avait tant d’amants, nom de Dieu ! }
Qu’elle’ ne savait quel prendre. } (bis)
Un jour l’ interne’ de garde, nom de Dieu !
En mariage la demande.

Refrain

Le père ne dit pas non, nom de Dieu !
La mère est consentante.

Refrain

Malgré tous les envieux, nom de Dieu !
Ils coucheront ensemble.

Refrain

Dans un grand lit carré, nom de Dieu !
Tout parfumé de guirlandes.

Refrain

Aux quatre coins du lit, nom de Dieu !
Quatre togés sciences (carabins) qui bandent.

Refrain

La belle est au milieu, nom de Dieu !
Elle écarte les jambes.

Refrain

Les règles lui sortent du con, nom de Dieu !
Encore toutes fumantes.

Refrain

Vous tous qui m’écoutez, nom de Dieu!
Y passeriez la langue

Refrain