Sciences

(Sur l’air de la Marseillaise)

Venez, venez petite fille
Le jour de rut est arrivé
Les étudiants de chimie
Ont la pine bien échauffée (bis)
Entendez-vous dans nos campagnes
La géographie en chaleur
Et les matheux si bon baiseurs
Travailler vos mignonnes compagnes

Aux pines, la fac des sciences
Enlevons nos pantalons
Bandons, bandons
Qu’un sperme pur
Abreuve tous ces cons

Les physiciens aiment les béguines
Pour leurs cons molasses, mais sacrés
Mais les béguines préfèrent leurs pines
Aux crucifix froids et dorés. (bis)
Les botanistes avec tendresse
Recueillent les fleurs de tièdes bosquets
D’où coulent de gluants pisselets
Entre les monts que l’on nomme fesses

Refrain

Quand on est en biologie
On a le sperme gras et bouillant.
C’est qu’à force d’élever des bactéries
On s’y prend mieux pour les rendre consistant. (bis)
Les géologues dans leur soutane
A grand coup de pics et de burins
Ont cherché de génitaux organes
Mais n’ont trouvé que d’hybrides machins

Refrain

BOURGEOIS VEREUX

Et bou, et bou, et bou, bou, bou (bis)
Bourgeois véreux prend garde
Car nous voilà (bis)
Nous sommes là pour boire et guindailler
Pour chanter pour gueuler;
Le folklore n’est pas mort
On chante encore :

LA FAC DES SCIENCES D’ABORD !
Chalalalalala…

(2x sauf la première ligne)

GDL

Oh oh liégeois, oh prenez garde
Voilà les luxos qui débarquent
N’hésitez pas à vous cacher
Si vous refusez d’affonner

Lëtzebuerg

Cachez donc vos belles donzelles
Avant kon nvous les dépucelle
Car nous luxos on est avide
De leur remplir tous leurs vides

Lëtzebuerg

St Nicolas et St Torè
On y sera toujours bourré
Car un luxo ne cessera
Au grand jamais d’vous affoner !

Lëtzebuerg

Dentiste

sur l’air de « bali-balo »

Claquant des dents, un étudiant franchi les portes de Bavière
Serrant les fesses, serrant les dents, il pétait de peur du derrière
Sur le fauteuil, la dentiste lui dit sans aucune compassion
Qu’il n’y a plus d’anesthésique pour son affreuse opération (bis)

On s’en fout bien dit la poison, je tiens ici la solution
La voilà à califourchon pour lui faire une fellation
Et au moment de l’extase, dans un cri de rage sauvage
Elle lui arrache vite une dent, ce qui le fait crier davantage (bis)

Et la chienne chirurgienne, la bouche, le ventre bien remplis
Fit tant et si bien des siennes qu’elle lui tarit bientôt le vît
La pine flasque, tout édenté, le sourire aux lèvres ahuri
Votre étudiant s’en est allé gonfler la caisse de l’INAMI (bis)

Barbou

A l’hôpital, si tu cherches une maîtresse
Aux seins pointus et au cul généreux,
Nos petites stagiaires sont vraiment des tigresses:
Elles savent y faire pour redresser un noeud.

Si par hasard tu deviens syphilitique,
Tu as un chou-fleur à la place de la queue, ein, zwei,
Ne t’en fais pas, c’est psychosomatique
Les gars de l’école ont tous la verge en feu.

Et qu’en guindaille, l’on remplisse nos verres,
Boire et chanter c’est ce qu’on a trouvé de mieux, ein, zwei.
Comme thérapie c’est la bière qu’on préfère;
Quand on est saoul que l’on soigne le mieux.

Barbou toujours saoul,
toujours debout. (ter)

Pharma

En avant, en marchant, en gueulant-ant-ant !
C’est nous les pharmaciens qui venons vous trouver
Du fond des facultés pour vous administrer
Les capot’s, les forceps, la poudre à faire bander
Et la vas’lin Codex pour mieux faire pénétrer
La pine dans l’con comme un couteau dans le beurre
Les impuissants bais’ront avec ardeur
Et si quelqu’un nous traite d’épicier
Son cul f’ra connaissance avec not’ pied, avec not’ pied

Baisons ma mère, devant, derrière
Les p’tites pucelles, les vieilles maqu’relles
Les filles de rien, c’est nous les pharmaciens

Les litteraires sont des andouilles,
Les C.d.S. sont des bizuths, oui des bizuths!
Vingt carabins n’valent pas la couille
D’un pharmacien, ca c’est connu, ca c’est connu !

Médecine

De l’hôpital, vieille pratique
Ma maîtresse est une putain
Dont le vagin syphilitique
Infeste le quartier latin
Mais moi, vieux pilier de l’école,
Je l’aime à cause de son mal
Oui ! de son mal !
Nous sommes unis par la vérole
Mieux que par un lien conjugal (ter)

Nous transformons en pharmacie
Les lieux sacrés de nos amours
La valériane et la charpie
S’y manipulent tour à tour
Tandis qu’avec de l’iodure
Ma femme se fait des injections
Des injections !
Avec du bromure de mercure
Moi je me fait des fric-tions (ter)

Ses cuisses ont des reflets verdâtres,
Ses seins sont flasques et flétris
Au sommet, les morpions noirâtres
Sur le fumier, ont fait leur nid
Mais moi, j’aime mon amante
Et je voudrais jusqu’à demain
Jusqu’à demain !
Lécher de mes lèvres brûlantes
Les chancres de son vieux vagin (ter)

Et quand viendra l’heure dernière
Quand nous s’rons bouffés des morpions
Unis dans un dernier ulcère
Ad patres gaiement nous irons
Nous adresserons une supplique
Afin qu’nos corps soient exposés
Oui ! exposés !
Dans un musée pathologique
A la section des vérolés (ter)

ISEPK

De retour du Japon, notre ami Pieron
A trouvé un Bonzaï tout juste à sa taille
Le toubib Jean-Mi, les cheveux en pétard
Ne fait pas de chichis pour avoir à boire

Refrain:
Oui à l’ISEP,
Y a des costauds comme des taurreaux
Y a plus personne qui nous effraie
On est des bêtes
Qui çà ?
Les profs de gym
Où çà ?
A l’ISEP liégeois

On préfère la bière aux barres parallèles
Boire la nuit entière au sport à l’appel
La poutr’ et les balles,on en a plein l’dos
On préfère êtr’sales, gueuler comme des sots

Refrain

On a d’vrais kinés qui sont d’bons masseurs
Mais préfèrent baiser le p’tit cul d’ma soeur
Ils vous guériront d’tous vos p’tits bobos
Mais jamais n’boiront une seule goutte d’eau

Refrain

Ingé

C’est nous les étudiants
En ingénieurs à Liège
La meilleure faculté
C’est Polytech, vous m’entendez
La meilleure faculté
C’est les Sciences Appliquées

Lors d’mes premières guindailles
Que j’ai faites dans ma vie
J’ai appris à chanter, à boire
Et à…vous m’entendez
J’ai appris à chanter, à boire
Et à baiser

Chez nous au Val Benoît
On fête Saint-Nicolas
La descente sur la foire
La Saint-Toré vous m’entendez
Et le quatres heures du Val Benoît
Ca va de soi

Vivent les ingénieurs ma mère
Vivent les ingénieurs
Ils chauffent les femmes à la vapeur
Vivent les ingénieurs

Et on s’en fout
les femmes (ter)
Et on s’en fout
Les femmes qui n’ont pas de trou

On les aura quand même
À la foreu-euse
Ou au marteau piqueur,
C’est la même chose,
Et on les finira à la ponceuse
Ou à la dynamite
C’est plus pratique

Info

On n’se prendra pas comme les autre facultés
Qui se disent les meilleures de l’Université
Nous on se contentera de guindailler
Et de s’amuser toute la journée
Telle est la devise des vrais infos

Chez nous à Montefiore, on fait souvent la foire
Même entre deux programmes, on n’arrête pas de boire
Car c’est Ribbens qui nous a initiés
En piliers de comptoir, il nous a changés
Telle est la devise des vrais infos

Nous ne vous parlerons pas de tous les Infos
Ce couplet est dédié à notre ami Nico
Jamais nous ne pourrons t’oublier
Toujours nous trinqu’rons à ta santé
Tel était le plus gland des Infos.

On s’fait raser en sortant avec une bleuette
Et pour éviter d’avoir mal à la quequette
On ne les baise qu’après le baptême
Et en attendant on se tape tous les mêmes
Telle est la devise des vrais infos

La guindaille des infos se résume en ces mots :
Boire et clasher, dégueuler et baiser sur le pot
Pour justifier tous nos a-fonds
On n’arrête pas de faire des affronts
Telle est la guindaille des vrais infos

Nos aieux guindaillaient, buvaient et procréaient
Ils ne pensaient pas que des gens comme nous naîtraient
Ils sont tous devenus complètement fous
En nous voyant picoler comme des trous
Tels furent les aieux des vrais infos

C’est en 84 qu’ils se sont réunis
Au pied d’une bouteille tout à fait pleine de whisky
Il va de soi qu’ils l’ont toute vidée
Et le premier comité fut créé
Ils furent les premiers des vrais infos !

ISIL

Refrain
Pucelle, pucelle,
Un méca ou un bio
C’est du pareil au même
Pour t’enfiler sans gêne
Qu’importe le tempo

Voici les ingénieurs, les meilleurs guindailleurs
Ni les femmes, ni la bière ne leur font jamais peur
Quant on a le gosier sec, la carence Jupiler
On s’rue au Polytech se noyer dans la bière

Refrain

Pas besoin d’mathématique pour calculer not’ coup
Même plein comme des bourriques on trouve toujours le trou
Pas besoin d’informatique pour programmer nos femmes
Car chaque fois qu’on les nique elles crient plus fort qu’à Gramme

Refrain

Et quand vient l’heure fatale d’aller se coucher
On retire not’ futal mais encore pour baiser
La mécanique des fluides nous apprend le mouvement
Les liquides fétides de l’orgasme gluant

Bèvons pô li, pô nin l’rouvi (bis)